Modely Thibaud

Modely Thibaud vit et travaille entre Paris, Cannes et l’océan indien

DÉCLICS

Né en 1988, originaire de l’île Maurice, Modely Thibaud vit et travaille à Paris et à Cannes. Au CE2, en voyant ses dessins, une institutrice lui avait prédit devant toute la classe : « Tu seras artiste peintre ». Depuis son enfance, il a en effet montré des dons évidents pour le dessin. Son grand-père les avait remarqués. En lui offrant une boîte de couleurs à l’huile, un chevalet et ses premières toiles, il a provoqué un déclic essentiel. Modely a fait connaissance avec la peinture, il a immédiatement adoré son odeur, exploré ses possibilités. Passée la phase de découverte, il est cependant revenu à son rêve de gamin : devenir footballeur. Pendant de longues années, la boîte de peinture est restée dans un placard.

Pourtant, alors qu’il avait 16 ans, le film Basquiat de Julian Schnabel a constitué un second déclic. Modely s’est remis à l’aquarelle, puis à l’huile. Il y a pris un plaisir intense et s’est laissé aller à créer, au gré de ses envies.

A 17 ans, il a vendu ses premières toiles. Lors d’une vente publique, Nicolas Debussy, un commissaire-priseur cannois qui croyait en son talent, a proposé deux de ses tableaux. Ils ont immédiatement trouvé acquéreur. Première émotion forte, première satisfaction intense pour Modely : ses toiles étaient capables de séduire des inconnus. Il a aussi été beaucoup soutenu par les parents d’un ami, qui collectionnent ses tableaux depuis ses débuts. Deux ans après la vente, sa première exposition, organisée à l’école des beaux-arts de Cannes, a très bien marché : la vingtaine de toiles présentées ont toutes été vendues, un succès totalement inattendu pour Modely. Il a réalisé qu’il pourrait peut-être un jour vivre de sa peinture.

Depuis, Modely a poursuivi des études de droit pour devenir fiscaliste, d’abord à Cannes, puis à Paris, mais il n’a jamais cessé de peindre. Il a participé à une exposition au Danemark avec son ami, le peintre Daniel Roger-Larsen. Son travail est exposé à Cannes dans un magasin de design, Ahimsa.

HOMMAGE À PIERRE SCHNEIDER

C’est vers l’âge de 17 ans que Modely a rencontré le critique Pierre Schneider, grand spécialiste de Matisse, et sa femme, Coco. Pierre Schneider a joué pour lui le rôle d’un mentor. A travers leurs échanges très réguliers, il lui a donné la culture picturale qui lui faisait défaut. Modely a pu acquérir des notions artistiques qu’il ne possédait pas forcément, puisqu’il était autodidacte, tout en gardant une grande indépendance de vues. Depuis le décès de Pierre en 2013, Coco lui apporte toujours un précieux soutien moral.

Pierre Schneider a joué un rôle-clef dans la vie de Modely, qui ne manque jamais de lui rendre hommage. Une autre personne lui a donné un coup de pouce décisif : il y a trois ans, alors qu’il était en grande difficulté financière, au point de devoir choisir entre peindre et se nourrir, un de ses amis a décidé de lui acheter régulièrement de la peinture et des toiles pour qu’il puisse travailler sans contraintes financières. Cette générosité  a libéré Modely. Depuis trois ans, il a pu peindre sans se poser de questions et développer son travail dans de nouvelles directions.

Couleurs et graphismes

Quand il a commencé à peindre, Modely a voulu d’abord tout essayer – à la manière, dit-il, d’un invité face à un buffet, qui a envie de goûter à tout. Il a testé toutes les couleurs, puis il s’est forgé sa propre palette lorsqu’il a été plus à l’aise avec la technique. Vers 19 ans, il aimait particulièrement le bleu phtallo, un bleu très nuancé et très profond, qu’il trouvait magnifique. Une végétation étrange et luxuriante a d’emblée peuplé ses œuvres. Puis il s’est mis à peindre des tournesols dansants, avec des marrons, des ocres, des gris, du blanc, du rose très pâle. Il travaillait ces couleurs plus terreuses sur du lin brut.

Cette attention plus grande au mouvement et à la matière l’a conduit à se concentrer sur des imbrications complexes de formes cernées de traits noirs, comme une mosaïque et ses joints en ciment. L’inspiration lui est venue de la fresque réalisée à la faculté de droit de Nice par Marc Chagall, lorsque l’université lui a commandé un décor pour la même salle. Il voulait peindre des formes assez simples, qui, une fois imbriquées, donneraient une impression de dynamisme. Fleurs et feuilles ont foisonné jusqu’à occuper toute la surface. Une échelle, un coquillage sur pattes ou des étoiles rythment ces « paysages ». Modely les veut résolument urbains, lui qui rêve de végétaliser la ville.

L’idée lui est venue de peindre ces puzzles de formes non seulement sur des panneaux de bois ou des toiles, mais aussi sur des supports de récupération, panneaux de signalisation, miroirs, objets en trois dimensions. Il aime se les approprier grâce à ses motifs pour en faire quelque chose de très personnel. Sur ces surfaces incongrues, la parenté que son univers touffu et ses graphismes puissants entretiennent avec le street art n’en est que plus visible.

Les arbres

Il s’est également découvert une passion pour le collage, une technique qu’il méprisait pourtant à ses débuts. Il a découvert son côté « magique ». Pour ses séries les plus récentes, il réutilise de vieux papiers vinyle récupérés dans la rue, des coupures de magazines ou des pages de livres abandonnés sur la voie publique. Il les imbrique et les associe à des traits noirs et à des arabesques qui leur donnent du dynamisme, des silhouettes d’arbres, symbole de la démarche écologique sous-jacente à son travail. En redonnant vie et valeur à ces papiers promis à la déchetterie, il pratique à sa manière le up-cycling.

Projets

En 2013, Modely est entré dans une phase particulièrement féconde de son travail. Outre les Arbres, ses dernières œuvres confirment sa prédilection pour des motifs qui envahissent les surfaces et tissent un réseau mouvant : dans ses dessins, ils tapissent des formes dessinées, des animaux, des croix, comme une très fine dentelle. Modely s’est aussi lancé dans le décor all over sur des objets de plus grande taille : un babyfoot, le foodtruck d’un ami, restaurants et concept store à Paris et aux Etats-Unis. Il a par ailleurs reçu la commande d’une série de tableaux pour l’Ecole militaire et termine actuellement un projet d’envergure, celui de la décoration d’un hôtel dans le 9ème arrondissement de Paris.

Outres des commandes de fresques chez des particuliers et des entreprises, il a peint l’extérieur et l’intérieur de la résidence d’artistes de Cannes : Le Suquet des Artistes. Il étend encore et encore les supports de ses créations et prévoit pour 2020 quelques expositions dans le sud de la France et à Paris.

Une seule chose compte pour lui : pouvoir continuer à peindre.

+30 expositions : Cannes, Paris, New York, Hong Kong, Koweit, Lausanne, Nice, Copenhague, Aix en provence….

Site personnel

Instagram

Adrien Siberchicot

Adrien Siberchicot (né en 1985) Vit et travaille entre la France et la Suède

Education

2012 Master of Fine Arts, Valand School of Fine Art, Göteborg, Suède
2008 Master de cinéma, Paris X Nanterre, France
2006 Licence de cinema, Paris X Nanterre, France

Sélection d’expositions

2016    5 minutes de plus, chapelle Saint Jean, Mulhouse

2016    Veuillez vous rappeler que vous n’êtes pas une forme abstraite, APAP-Kunstahlle, Mulhouse

2014    RAVI open studios, Liège, Belgique

2013    Green Flash Open Studio, Nida Art Colony, Nida, Lituanie L’Oeil d’Oodaaq, Rennes, France

2012    Videorover, Nurtureart, New York City, USA Prisme#0, Le 6b, Saint-Denis, France

Publish and Be Damned, Index – The Swedish Contemporary Foundation, Stockholm, Suède Intercept 6:7, Multiplexer, Las Vegas, USA

Saris !, Musée de Velky Saris, Slovaquie

Wed on’t understand ea chot her., Vasa Konsthall, Göteborg, Suède Paravent, solo show, Gallery S. Geskel, Göteborg, Suède

2011    The Billboard Art Project, San Bernardino, USA

Spring exhibition, Valand School of Fine Arts, Göteborg, Suède I Can See You inside of Me, NK , Göteborg, Suède

Group Show #2, Galleri Rotor 2, Göteborg, Suède Group Show, Virginia Howells, San Francisco, USA

2010    Salon #7, Galleri Rotor 2, Göteborg, Suède

Bourses, residences et ateliers

2016    Résidence Mission, APAP-Kunsthalle, Mulhouse, France

2015    Atelier au MAC VAL, Musée d’Art Contemporain du Val de Marne, Vitry-Sur-Seine, France Bourse du CNAP

2014    Résidence de trois mois (Mars à Mai), RAVI, Liège, Belgique

2013    Atelier “Les Portes du Temps”, MAC VAL, Musée d’Art Contemporain du Val de Marne, Vitry-Sur-Seine, France Résidence de deux mois (Avril et Mai), Nida Art Colony, Lituanie, bourse du Nordic-Baltic Mobility Programme for Culture et de l’Académie des Beaux-Arts de Vilnius

2012    Atelier à Vel’ky Saris, Slovaquie dans le cadre de Kosice 2013, capitale européenne de la culture Bourse Otto och Charlotte Manheimers

2010    Bourse Adlebertska Hospitiestiftelsen

Résidence d’un mois au California College of the Arts, San Francisco Bourse Arnulfska Stipendiefond

http://www.adriensiberchicot.com

Edouard Bierry

Edouard Bierry (né en 1983) Vit et travaille à Paris


- Photographe accrédité pour Notre Dame 
(pour l’instant le seul autre photographe accrédité
pour la durée du chantier est Patrick Zachmann,
photographe de l’agence Magnum) - Ambassadeur Ricoh Pentax pour le Ricoh GR3.
Dans ce cadre, membre d’un jury photo
Fisheye Magazine / Ricoh Pentax
et réalisation de deux masterclass
(film sur celles-ci en cours de montage). - Ambassadeur Epson photographie jusqu’à minima fin 2020
(OFF car en cours de finalisation).
Une des premières actions a été d’être présent lors du premier workshop réalisé par Polka. - Photographe horlogerie pour Comme un Camion - Expositions collectives : "Céleste", Galerie Sophie Le Filleul (75001 Paris), avril 2018 "Parallèles", Galerie Sophie Le Filleul (75004 Paris), décembre 2017 Exposition-vente d'art "Enfants Cancers Santé",
à Valbonne du 12 au 22 octobre 2017 Leica Camera France – Midnight Garage Festival 2016. Thème : Café Racer. - Concours :  Membre du jury du "Concours photo de la fondation du
Crédit Agricole-Pays de France"
sous la présidence du photographe Jean-Christophe Ballot
Membre du jury du “Concours artstudentsweek by Faber-Castell”, www.faber-castell.fr/concours/local/fr/art-students-week - Publications Presse (print et web) : Porsche x Orlinski (Capital, Motorlegend, 4legend, etc.) Membre Photographe à la Centrale des Journalistes (depuis avril 2018) La brasserie du Montblanc – VSD (avril 2018) Deejo – Paris Match (janvier 2018) Ebel - Montres Magazine (septembre 2017) A. Lange & Söhne – Montres Magazine (juin 2017) Les édicules Guimard, 4 pleines pages dans l'Honoré Magazine (printemps 2017) Photographies de l'artiste Modely Thibaud pour Perspective Magazine Rencontre avec François Pervis, champion de cyclisme sur piste (Mens Up) SIHH 2017 (UpTime)
Goyard (Apollo Magazine) Tissot – Alpine (UpTime)
Seiko “Turtle”, Zenith ElPrimero Tour Auto, Tudor Pelagos, Piaget Polo S et la Junghans Meister Telemeter (Les Grands Ducs)
Ralph Lauren et Montblanc (OdldMag)
Baselworld 2016 (Passion Horlogère) - Commandes :  Création de contenus pour :
Deejo, Roger Dubuis, Saint Honoré Montre,
Girard Perregaux (Exposition Laureato), Ikonik, Poiray (DP "Ma Préférée"),
Goyard (Packshot sac Saigon, utilisation web et USA),
Girard Perregaux (DP “Le Corbusier”),
Ekso Watches Gallery (créations photographiques),
affiche de la pièce de Théâtre "L'Entrevue de Badajoz" de Christian Morel de Sarcus - Corporate :  Ministère de la Culture BMW Corporate (WarmUp Interactive) Instagram personnel

Edouard Bierry photographie comme il respire. Tout le temps. Le jour, la nuit. D’instinct. Apparemment sans réfléchir. Ne comptez pas le voir préparer longuement ses appareils, régler les lumières, demander au mannequin de prendre telle ou telle pose avant de mitrailler sans émotion. Non, son cerveau perçoit avant même ses yeux quel profit il peut tirer d’une situation particulière, d’un lieu insolite, d’un instant privilégié. Appelez cela 6e sens. Alors, l’air de rien, il ne prend pas “des” photos, il prend “la” photo.

Il y a des années de cela, du temps de l’argentique, une grande marque de pellicules vantait la qualité de ses produits en parlant des “voleurs de couleurs”. Edouard Bierry ne vole pas les couleurs, il les emprunte et les restitue immédiatement, juste le temps d’en immortaliser le plus belle expression. Mais le plus souvent, dans son travail, il est plutôt question de noir et blanc qui laisse selon lui davantage de place à l’imagination.

S’il a le talent de sublimer un visage, une silhouette, il est également expert dans l’art de placer un objet, une montre par exemple (il se passionne aussi pour l’horlogerie) dans un environnement insolite pour en faire une photo étonnante, captivante, évidente.

Ce photographe-là a quelque chose de plus que les autres : des idées. Quand beaucoup se contentent d’observer, lui il crée…

LISTE DES OEUVRES ET PRIX EXPO ‘CELESTE’ 3 AU 8 AVRIL 2018


Edouard Bierry (born in 1983) Lives and works in Paris.

Edouard Bierry photographes as he breathes. All the time. From day to night. Instinctively. Apparently without thinking. Don’t expect him to be preparing his camera for long, adjusting the lights or asking the model to take a pose before shooting without emotion. No, even before his eyes, his brain knows how to take advantage of an unusual circomstance, a quirky place or a magic moment. Call it a sixth sense.

Then, when you wouldn’t think, he doesn’t just take a photo, but he takes the perfect one. Years ago, when silver halide photographies where still usual, a famous film roll brand was using in an advertisement the sentence « robber of colours » about its products. Edouard Bierry doesn’t steal the colors, he borrows it and give it immeditaly back, just meantime he immortalises the best look of it. But most of the time, his photographs are in black and white because for him it leaves more space for the imagination. He is talented in enhancing a face, an outline. And he is also expert in placing an object – a watch for exemple (he is fan of clockmaking) – in an unexpected location to make an astonishing, obvious and fascinating photography. This photograph has something more than the others : ideas. When a lot are satisfied with what they see, he is doing more than just watching, he is creating…

LIST OF ARTWORKS AND THEIR PRICES – EXHIBITION ‘CÉLESTE’

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Alban Gervais

Alban Gervais – Image 9/10 série Ricochets, 2016

Alban Gervais (né en 1982) Vit et travaille à Paris


La pratique plastique d’Alban Gervais, étroitement liée à sa formation de designer graphique, consiste à imprimer et éditer ses paysages. Il s’intéresse aux processus de diffusion et il agence des espaces d’échanges autour de ses images.

PAYGRAPHIE

Aiguiller la rétine

Alban Gervais développe depuis ses années d’études à l’école des Arts décoratifs de Strasbourg, un travail de recherche en paygraphie. Comme l’architecte qui doit être un regardeur professionnel, le graphiste arpente les territoires en quête d’images, de signes, d’objets et les soustrait à tous repères géographiques afin de dessiner un commun, lieu équivoque et polysémique. Révélées ou non, ses images consignent des états d’âmes, à travers des prises de vue singulières.

La nature et la géométrie comme dialectique

Au panorama, Alban Gervais préférera le détail. Certaines images proposent de divaguer dans des paysages vastes et ouverts et d’autres de regarder la géométrie du bâti ou de l’urbain. À la démonstration, il optera pour la suggestion. Les pièces réalisées deviennent prétextes à une invitation au voyage vers un monde incertain aux contours sensibles, une initiation à une géographie affective et poétique.

Expérimenter et composer : techniques & collaborations

La démarche “paygraphique” articule exploration géographique, photographie et techniques d’impressions. Alban Gervais produit des images de paysages et expérimente avec une approche de plasticien dans les lieux où il est invité à exposer. Pour partager ces zones en paygraphie, il collabore régulièrement avec le scénographe Johann Maheut, l’écrivain Sébastien Dufay et Sylvain Aubry, designer graphique.

Expositions, conférences et résidences 

2018
• Exposition “Paygraphie” à la Galerie Julio Artist-run Space (Paris 20e).
Exposition d’éditions co-signées avec S. D. (écrivain) et Géraldine Trubert (plasticienne)

2017
• Exposition “Parallèles” à la Galerie Sophie Le Filleul (Paris 4e)
Exposition de 15 moyens formats et 1 sérigraphie : 7 au 14 décembre
• Conférence “Démarche et des marges” à l’École Bellecour, Lyon : 22/11
• Workshop “L’attrait et la fascination des Sirènes” à l’ÉSAL, Metz
Présentation des travaux et atelier-exposition en 1re année : 27 avril et 11 mai
• Workshop “Design paygraphique” à l’ÉCV, Lille
Atelier Images et exposition-vernissage à l’issue de l’atelier : 4 – 7 avril

2016
• Résidence artistique “Ricochets” et installation “La Palissade”
Organisée par l’association Pix3l (Rouen) à Mesnils-sur-Iton (27) :
avril-septembre. Avec Sylvain Aubry (designer graphique).
• Workshop “Ne partez pas sans emporter le Temps” à l’ÉSADHaR, Rouen
Présentation des travaux et atelier 4-5e années (sérigraphie) ; 1/03 et 14/11
• Exposition “6 images qui s’imposent” à Aponia (Villiers-sur-Marne).
Exposition monographique au sein d’un espace de 200 m2 : 9 janvier au 14 février

2015
• Résidence artistique, installation et exposition “Iconoclasses 17”
École primaire Jean-Loup Chrétien, Fauville-en-Caux (février – avril).
Exposition collective Galerie Duchamp (Yvetot) : 15 septembre au 15 octobre
• Exposition “Regarder, une collection d’art graphique contemporain”
Galerie Poirel (Nancy). Affiches et édition présentées au sein de la collection
d’art graphique contemporain de Vincent Perrottet : 10 avril au 6 septembre

2014
• Résidence artistique et exposition “Partage de paysages”
au PLOT-HR, pôle de résidence et d’expositions de l’ÉSADHaR, Rouen.
Résidence : février- mars. Exposition monographique, 120 m2 : 12 au 29 mars
• Parcours graphique “Khiasma Connection”
Khiasma (Les Lilas), parcours d’images (2 km) ponctué de 3 lectures
dans le cadre d’une manifestation artistique annuelle : 22 novembre

2013
• Exposition “Paysage71”
Installation artistique dans le cadre Portes ouvertes des Ateliers d’artistes
de Belleville (atelier n° 71), 100 m2, avec Carlos Lopez, artiste-graveur


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Malaury Buis

Malaury Buis – Seaside Playground, 2016

Né à Nice en 1994, Malaury Buis a passé une partie de son enfance dans l’agence de publicité familiale, ce qui l’a plongé très jeune dans le monde de l’image.

Enfant, les voyages lui permettent de découvrir des paysages, des cultures différentes et l’envie de capturer tous ces instants.

À 18 ans, il s’engage dans l’Armée de l’Air avec l’idée de devenir photo-reporter et faire de la photographie son métier.

Après ses classes militaires, il obtient son diplôme à l’Ecole des Métiers de l’Image (EMI) de l’Etablissement de Communication et de Production Audiovisuelle de la Défense (ECPAD).

Aujourd’hui, après de nombreux reportages en métropole comme en opérations extérieures, il est toujours à la poursuite de nouvelles images et d’une de nouvelle façon de regarder le monde.

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